Voici la suite de l’analyse de Vox Thunae cette fois-ci sur l’approche keynésienne du soutien à la production de menhirs par César dans Obélix et Compagnie.

Max Fécamp, O.K (Obelix Kapital).

« Obélix et Compagnie (1976) est à mes yeux le traité d’économie le plus pédagogique jamais paru. […] Nombre de personnes pensent d’ailleurs qu’en l’absence de grands projets à réaliser, il n’est pas possible de mettre en place une politique de relance efficace. Or cela est sans grand rapport ! La théorie décrite par Keynes tient tout autant lorsqu’on paye des gens à creuser des trous puis à les reboucher. Le point central, c’est de créer du déficit. Le choix du menhir, produit inutile par exemple, renverse à merveille cette méprise courante. »